Aux sources de l'Oued Sahel, en 1845, l'on créa le point stratégique d'Aumale (771-1334), auquel s'adjoignirent, en- 1858,. Bir Rabalou* (MO-18O>, епЛ876, Aïn Bessemí(365-493), en 1890, Hoche -(162-127;. î" la route d'Aumale, à Bouira était jalonnée par la création, en 1880, dei Bertville (116-95) et en 1889, d'Aboutville iso-72) ; en 1876, l'on avait fondé Tablât <>
La haute plaine de Médéa se trouva ouverte à la colonisation un peu plus tôt que la hante plaine d'Aumale. Dès 1840, Médéa recevait: ses - Colons; en 1848, l'on organisait Lodi .(365-282) et Damiette (344-315 *. En 1843, avait, été créé à la porte des Hauts Plateaux Boghar (90-317), auquel s'ajoutait; en 1856, Boghari '88-3901. De 1861, date Berrouaghia* Í197-793), de 1875, Loverdo (120-218), de 1878, Ben-Chicao Í78-41). Médéa,. placée- sur la route de Laghouat, eut, en outre sur Aumale l'avantage d'une voie ferrée : en 1891, étaient franchis par la-locomotive les «S3- km qui séparent Berrouaghia de Blida.
L'une comme l'autre d'ailleurs, les hautes plaines d'Aumale et de Médéa se rattachent à la plaine littorale d'Alger.-
La plaine littorale d'Oran. — Sous le nom de plaine d'Oran; l'on, peut désigner la région littorale que limitent le Dahra, les monts des BenkChougran et du.Tessala. Cette région comprend, comme la plaine d'Alger, quelques ilôts montagneux; il. s'y trouvait,. comme dans la; Mitidja, de nombreux marécages qui mettaient obstacle à l'exploitation s agricole. La sécheresse y est plus: grande que dans la région: d'Alger (pluies : 400 чшп. au lieu de 750 mm.), et la présence de ;■ lagunes salées, dont la plus importante est la sebkha d'Oran, enlève, de nos jours encore, de nombreux hectares à l'agriculture.
C'est en 1831 que les Français occupèrent Oran; sa banlieue reçut des colons agricoles treize ans plus tard seulement, en 1844: La Sénia^ fut alors peuplée 1281-1320), puis en1 1845, Misserghin (444-2417) et. Sidi-Chamy (182-848 v en 1846, Mers-el-Kébir (1 132-2 258), en 1850; Aïn el Tmi SS8-764) et Bou-Sfer (15-1 280).
Entre Oran et Arzeu, toute une série de centres agricoles furent semés de bonne heure dans la plaine ; Sainte-Léonie (228 en. 1851}, était créée en 1846: de 1848 datent Arcole (12U-.Ï695, Valmy (105-366), Mangin (118-209), Assi-bou-Nif (143-414i, Assi-Ameur (192-272), Assi- ben-Ogba (196-628', Fleuras (207-747), Legrand (154-518), Saint-Louis (345-.S99J, Saint-Cloud (789-3 319), Renan (138-356), Kléber. (274-734).
D' Arzeu au ChMif, la route fut aussi jalonnée. En 1846, avaient été créés La Stidia (U0-457) et Mazagran: (271-628); de 1848,. datent Damesme (125-263),. Saint-Leu (134-89-Si, Noizy-les-Bains. (264-382), Aboukir (221-339), Rivoli C224-664), Tounin ( 143-1 50), Ain Tédélès (312-710), Bellevue (241-212), auxquels s'adjoignirent, en 1851, Pont- du-Chélif (126-134), en 1854, Pélissier (260-400) et Belle-Côte(165-152);
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